Bonne nouvelle pour tous les étudiants, Mon Master, la nouvelle plateforme du gouvernement dédiée aux candidatures en master sera mise en ligne le 1er février prochain.
Tu as sans aucun doute déjà beaucoup entendu parler de Parcoursup, c’est un incontournable désormais, mais apprête-toi à accueillir la nouvelle plateforme du gouvernement pour l’inscription en… master.
Mon Master en ligne le 1er février 2023
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, en parlait au mois de septembre dernier, le gouvernement ouvrira une plateforme unique de candidatures pour les masters.
À compter du 1er février prochain, les étudiants auront accès à la petite sœur de Parcoursup version master. Ils pourront alors consulter le détail de chaque formation, déposer leurs dossiers, télécharger les documents requis, consulter leurs propositions d’admission et y répondre.
Tout comme pour Parcoursup, le nombre de candidatures est limité. Sur Mon Master, les étudiants auront droit à 15 vœux en formation initiale et 15 de plus en formation en apprentissage.
Finis donc les dossiers déposés dans plus d’universités qu’il n’y a de lettres dans l’alphabet, à partir de maintenant tout sera centralisé !
Les dates clés de Mon Master
Cette année, les candidats devront respecter le calendrier suivant pour formuler leurs vœux d’orientation :
- Consultation des offres de formation sur Mon Master : le 1er février ;
- Dépôt des candidatures sur le site : du 22 mars au 18 avril ;
- Examen des candidatures par les établissements : du 24 avril au 16 juin ;
- Admission des candidats : du 23 juin au 21 juillet.
Lors de cette dernière phase, les étudiants devront accepter ou non les propositions qui leur seront faites par les établissements.
Et la question que tout le monde se pose… La plateforme sélectionnera-t-elle les dossiers ? « L’algorithme ne servira pas d’outil d’aide à la décision, la plateforme ne sélectionnera pas les étudiants et ce seront eux qui seront au centre de la procédure […] Cette nouvelle plateforme est un guichet unique qui permettra juste de fluidifier les propositions, de redistribuer les places laissées vacantes et inscrira plus tôt les étudiants », précise Sylvie Retailleau.
