Les études de santé à l’étranger avec GEDS – Le témoignage des étudiants

Tu souhaiterais suivre des études de santé à l’étranger ? Sache que tu n’es pas le (la) seul(e). De très nombreux étudiants font ce choix chaque année. Ils partent étudier la médecine en Allemagne, l’odontologie (dentaire) au Portugal ou encore la pharmacie en Hongrie. Si tel est ton cas, laisse-nous te parler d’un organisme qui pourrait t’être bien utile. GEDS accompagne les étudiants dans le processus de candidature auprès de ses universités européennes partenaires. Avec eux, tu as la possibilité d’aller étudier au Portugal, à Chypre, en Hongrie, en Allemagne ou encore aux Pays-Bas !

L’Europe, un plan B devenu le plan A pour certains étudiants en santé

Pendant longtemps, partir étudier la santé à l’étranger était perçu comme un choix par défaut, une alternative pour ceux qui ne réussissent pas à intégrer les formations en France. Aujourd’hui, cette vision évolue : de plus en plus d’étudiants font le choix de l’international non par contrainte, mais par conviction. On va t’expliquer pourquoi.

Difficulté d’accès aux formations médicales en France

Le parcours pour intégrer des études de santé en France est réputé pour sa sélectivité. La première année commune aux études de santé (PACES) a cédé sa place au PASS (parcours accès spécifique santé) et à la L.AS (licence accès santé), mais ces deux nouvelles formations sont également très exigeantes, avec un nombre d’admis limité. Cette compétition intense pousse certains étudiants à envisager des alternatives à l’étranger

Recherche d’une expérience internationale enrichissante

Étudier à l’étranger offre une ouverture culturelle et la possibilité de maîtriser une nouvelle langue. Cette expérience internationale est perçue comme un atout majeur, tant sur le plan personnel que professionnel. ​Et c’est également ce qui pousse les étudiants à tenter leur chance à l’étranger.

Accès à des formations de qualité

Certaines universités européennes proposent des programmes de santé reconnus pour leur excellence. Par exemple, l’European University Cyprus (EUC) à Nicosie offre des formations en médecine, chirurgie dentaire ou encore kinésithérapie, avec des infrastructures modernes et un enseignement de haut niveau. 

Le témoignage de deux étudiantes en santé qui ont candidaté via l’organisme GEDS

Pour en savoir un peu plus au sujet de GEDS et des parcours possibles, nous nous sommes entretenus avec deux étudiantes en santé passées par l’organisme pour candidater auprès de leurs universités. Lise et Kenza partagent leur expérience GEDS avec nous. 🔽

Pourquoi vous êtes-vous orientée vers des études de santé à l’étranger ? Et pourquoi avoir choisi ce pays ?

Kenza : Au départ, je n’avais pas du tout prévu de faire des études de vétérinaire. Ce n’était pas le chemin que je pensais suivre… et je me suis lancée un peu sur un coup de tête, sans vraiment savoir ce qui m’attendait. Mais en y réfléchissant, c’était probablement le meilleur choix que j’ai jamais fait. En France, après mes tentatives en PASS et L.AS, j’ai échoué, et c’est à ce moment-là que j’ai eu l’opportunité de partir à l’étranger. Chypre s’est présentée à moi un peu par hasard, et même si je n’avais jamais envisagé d’y aller, j’ai vu ça comme une chance unique. Ça m’a permis de croire en moi et de repartir sur de nouvelles bases, de réussir là où je n’avais pas pu le faire en France. Je ne regrette absolument pas ce choix, bien au contraire. Chypre a été un véritable tournant dans ma vie, une chance de découvrir une nouvelle direction, un rêve que je n’avais même pas imaginé.

Lise : J’ai passé une partie de mon enfance à côtoyer le monde médical en tant que patiente. La vocation est née à ce moment, je pense, et je ne me voyais pas faire autre chose. Travailler dans le monde médical était une évidence. J’ai tenté PASS et L.AS en France pour avoir médecine, mais j’ai échoué près du but (très près du but). J’ai abandonné mon rêve et rejoint une école d’ingénieurs, mais en parlant avec une amie j’ai entendu parler de GEDS, j’ai postulé à la toute dernière minute… Et j’ai été prise en pharmacie ! J’ai choisi le Portugal, c’était un pays qui m’attirait beaucoup et je me voyais bien faire mes études là-bas. Puis, en visitant les écoles, j’ai eu un coup de cœur pour la ville de Porto. Et puis, même si CESPU est une école privée, le prix reste plutôt raisonnable. 

Pourquoi avoir choisi l’accompagnement GEDS ?

Kenza : 
Je dois avouer qu’au début, je me sentais vraiment perdue à l’idée de partir seule, d’entamer ce parcours dans un pays étranger sans véritable soutien. J’avais peur d’échouer à nouveau et de me retrouver isolée. Mais GEDS a été un véritable pilier pour moi. L’équipe a toujours été présente, à l’écoute de mes doutes et de mes angoisses. J’ai souvent été en contact avec eux, et chaque conversation m’a aidée à avancer.

Lise : J’ai choisi l’organisme GEDS, parce qu’il permet de faire le lien entre les universités en Europe et les étudiants. GEDS nous facilite donc la vite pendant la phase de candidature. Ils nous soutiennent, nous aident et nous mettent également en lien avec des étudiants déjà sur place, ce qui permet de nous rassurer et de nous projeter plus facilement ! 

Quelle formation suivez-vous ?


Kenza : Je suis actuellement en formation de médecine vétérinaire, un cursus de 5 ans.

Lise : Je suis en master intégré de pharmacie.

Comment se passe votre cursus ?


Kenza : Il n’y a qu’un mot pour décrire mon parcours : un rêve. Chaque jour, je me sens reconnaissante de pouvoir étudier ce que j’aime. Les cours théoriques sont toujours suivis de pratiques, ce qui rend l’apprentissage très vivant et concret. Les professeurs sont très à l’écoute, toujours prêts à nous aider, à répondre à nos questions, à nous guider.

Lise : Tout se passe très bien. Mon cursus se déroule en 5 ans avec une thèse à la fin. Il y a aussi un stage en 4e année et tout le dernier semestre de 5e année. On est évalués en continu et en partiel, ce qui nous oblige à travailler tout au long de l’année. Les études de pharmacie demandent du travail personnel et de la rigueur, mais c’est très intéressant. 

Vers quel métier vous dirigez-vous ?


Kenza : Je me dirige vers le métier de vétérinaire, un rêve que je partage avec ma petite sœur. Mon objectif est de créer ma propre clinique vétérinaire, un lieu où je pourrai non seulement soigner des animaux, mais aussi offrir un espace où les propriétaires pourront trouver un véritable soutien et des conseils. C’est un projet qui me tient à cœur et je travaille chaque jour pour le réaliser.

Lise : Plus tard, j’aimerais devenir pharmacien hospitalier et me spécialiser en oncologie.

Voulez-vous exercer en France une fois diplômée ?


Kenza : Depuis que je suis partie à Chypre, je ressens un immense désir de découvrir le monde, de m’ouvrir à de nouvelles cultures et de voir ce que d’autres pays ont à offrir. Mon but est de parcourir le monde pour trouver l’endroit parfait, celui où je me sentirai épanouie tant sur le plan personnel que professionnel. Peut-être que ce sera en France, peut-être ailleurs, mais ce qui est sûr, c’est que je suis prête à vivre pleinement cette aventure.

Le mot de la fin 

Face à ces constats, de plus en plus d’étudiants font le choix d’étudier la santé en Europe, attirés par des destinations comme le Portugal, Chypre, la Hongrie ou encore la Roumanie et l’Espagne.

Via GEDS, ce processus est désormais bien plus simple : plutôt que de candidaterindividuellement à chaque université, (qui peut se révéler être un vrai parcours du combattant) une seule candidature permet d’accéder à plusieurs établissements.