Le recours croissant aux plateformes éducatives : que cherchent les élèves aujourd’hui ?

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Depuis 2020, l’usage des plateformes éducatives s’est imposé comme un réflexe pour une grande partie des élèves du secondaire et du supérieur. Si les ressources en ligne existent depuis longtemps, leur rôle a nettement évolué : il ne s’agit plus seulement de réviser un chapitre ou de regarder des vidéos explicatives, mais bien d’organiser un véritable accompagnement, parfois complémentaire au cadre scolaire traditionnel.

Maintenant, plusieurs tendances se dégagent, notamment autour de la recherche de flexibilité, de personnalisation et de continuité pédagogique. Cet article propose un panorama de ces évolutions, en s’appuyant sur des constats observés dans différentes régions et dans plusieurs filières académiques.

Les difficultés récurrentes identifiées par les élèves

Les retours d’expérience sont assez homogènes selon les régions et les niveaux. Les élèves évoquent principalement :

  • La gestion du volume de travail, notamment en cycle terminal ;
  • La compréhension des notions abstraites, en particulier en maths ;
  • La difficulté à organiser des sessions régulières d’aide aux devoirs ;
  • Le manque de régularité, qui entraîne un décalage progressif avec le programme ;
  • Un déficit de confiance, surtout après une mauvaise série de notes.

C’est dans ces moments que les plateformes peuvent jouer un rôle de régulateur, en réintroduisant une routine stable.

Les plateformes éducatives occupent aujourd’hui une place importante dans le suivi scolaire, mais les usages diffèrent selon les territoires.

Dans de grandes villes comme Paris, Lyon ou Toulouse, les élèves disposent d’une offre diversifiée qui facilite la combinaison de ressources numériques et d’accompagnement traditionnel. Ailleurs, dans des contextes urbains variés — de Nantes à Montpellier, de Bordeaux à Marseille, ou encore à Rennes — l’usage du numérique sert souvent à optimiser un emploi du temps déjà très dense.

Dans des zones où l’offre d’accompagnement est plus éclatée, comme Lille, Nice, Grenoble, Dijon, Reims, Le Havre, Angers, Perpignan, Rouen ou Limoges, les plateformes représentent un relais essentiel pour accéder à un suivi régulier sans dépendre des disponibilités locales.

Pourquoi les élèves se tournent vers des solutions d’accompagnement en ligne

Les besoins exprimés par les élèves suivent souvent la même logique, quel que soit leur niveau :

  1. Remédier à des difficultés persistantes, notamment en maths ou en langues.
  2. Structurer un rythme de travail lorsque la charge devient difficile à gérer.
  3. Accéder à un soutien scolaire à domicile quand l’encadrement local n’est pas suffisant.
  4. Compléter les explications du professeur, surtout dans des classes très chargées.
  5. Gagner en autonomie, en alternant révisions guidées et exercices interactifs.

À cela s’ajoute la recherche d’un espace neutre, extérieur au cadre familial, qui permet de travailler plus sereinement.

Plateformes éducatives : diversité des approches et des outils

Les plateformes actuelles se distinguent principalement par quatre modèles :

  • les bibliothèques de contenus (fiches, vidéos, résumés) ;
  • les espaces d’exercices interactifs, souvent adaptés au niveau de l’élève ;
  • les environnements hybrides, qui combinent vidéos, exercices et sessions synchrones ;
  • les services d’accompagnement personnalisés, avec intervention d’un professeur particulier.

Chaque format répond à une problématique spécifique : consolider les bases, préparer un examen, améliorer les méthodes ou reprendre confiance dans une matière.

Selon la ville où ils résident, les élèves n’utilisent pas les plateformes pour les mêmes raisons.

Dans les grands centres urbains comme Paris, les ressources numériques servent souvent à consolider un accompagnement déjà existant, notamment quand les emplois du temps sont très chargés.

Dans d’autres contextes — qu’il s’agisse de Montpellier, Rennes, Nice ou Angers — les outils en ligne offrent un complément essentiel, notamment pour suivre les programmes de maths ou organiser l’aide aux devoirs lorsque les structures locales sont limitées.

Enfin, dans des villes comme Dijon, Perpignan, Grenoble ou Rouen, ces plateformes permettent d’accéder rapidement à des contenus spécialisés ou à un encadrement plus individualisé.

Les difficultés récurrentes identifiées par les élèves

Les retours d’expérience sont assez homogènes selon les régions et les niveaux. Les élèves évoquent principalement :

  • la gestion du volume de travail, notamment en cycle terminal ;
  • la compréhension des notions abstraites, en particulier en maths ;
  • la difficulté à organiser des sessions régulières d’aide aux devoirs ;
  • le manque de régularité, qui entraîne un décalage progressif avec le programme ;
  • un déficit de confiance, surtout après une mauvaise série de notes.

C’est dans ces moments que les plateformes peuvent jouer un rôle de régulateur, en réintroduisant une routine stable.

Le choix d’une plateforme dépend également de la réalité locale.

Dans des villes très concurrentielles comme Lyon, Bordeaux ou Marseille, les familles comparent les approches pédagogiques, les formats et la qualité du suivi avant de se décider.

Dans d’autres villes, comme Toulouse, Nantes, Reims, Le Havre ou Limoges, la disponibilité de cours spécialisés ou d’un professeur particulier est le critère déterminant.

Enfin, dans des contextes où les solutions physiques sont plus rares — Lille, Nice, Grenoble, Rennes, Angers, Perpignan, Rouen — les plateformes deviennent un moyen fiable d’obtenir un soutien scolaire à domicile compatible avec les contraintes familiales et scolaires.

Le rôle des plateformes spécialisées et des intervenants externes

Au-delà des outils généralistes, on observe en 2026 une progression notable des plateformes spécialisées dans l’accompagnement individualisé.

Elles proposent :

  • un diagnostic initial, pour identifier précisément les lacunes ;
  • une direction pédagogique, qui adapte les contenus au niveau réel ;
  • des cours particuliers ciblés, utiles lorsqu’une méthode doit être revue en profondeur ;
  • une disponibilité accrue, qui déborde des horaires scolaires classiques.

Ce modèle attire notamment les élèves qui cherchent un cadre structuré, mais également ceux qui souhaitent progresser rapidement dans une discipline spécifique.

Ikando : un exemple représentatif de cette évolution

Parmi les acteurs qui se démarquent sur ce terrain, Ikando illustre bien la manière dont les plateformes cherchent à répondre à ces nouveaux besoins.

Son positionnement repose sur plusieurs éléments que les familles identifient comme décisifs :

  • un accompagnement personnalisé, souvent associé à un professeur particulier identifié pour son expertise ;
  • la possibilité d’un soutien scolaire à domicile, pensé pour améliorer les résultats de manière tangible ;
  • une séance d’essai incluse, qui permet de tester l’approche sans engagement ;
  • un historique solide, avec plus de 120 000 élèves satisfaits depuis 2007 ;
  • un axe fort sur la motivation et la méthode, aspects souvent négligés dans les approches purement académiques.

L’entreprise met aussi en avant la notion de progression transparente, présentée comme un levier pour renforcer la confiance en soi, surtout lorsque les difficultés concernent des matières exigeantes comme les maths.

L’accès à ses services se fait facilement via son site : Ikando

Comment les familles choisissent entre plusieurs solutions

Le choix d’une plateforme ne se fait pas sur un seul critère. Les familles évaluent :

  • la qualité des intervenants ;
  • l’efficacité réelle des cours particuliers ;
  • la clarté du suivi pédagogique ;
  • la place accordée à la méthodologie ;
  • les retours d’autres utilisateurs ;
  • les disponibilités horaires.

Dans les grandes villes comme Bordeaux, Montpellier, Dijon, Marseille ou Le Havre, l’offre peut être abondante mais hétérogène, ce qui rend ce processus de sélection encore plus important.

Ce que recherchent réellement les élèves en 2026

Les enquêtes menées ces deux dernières années montrent des attentes très constantes :

  • des méthodes de travail fiables, pour ne plus perdre de temps ;
  • un accompagnement qui renforce la motivation, et pas uniquement la technique ;
  • une progression visible, indispensable pour retrouver confiance ;
  • une approche hybride, mélange d’autonomie et d’encadrement ;
  • un intervenant capable de s’adapter rapidement, notamment dans les périodes d’évaluations.

Ces attentes expliquent la croissance continue du modèle personnalisé.

Quel avenir pour les plateformes d’accompagnement scolaire ?

Les perspectives pour les prochaines années semblent confirmer une tendance de fond :
la personnalisation et l’individualisation devraient encore s’accentuer.

Trois axes structurants se dessinent :

  1. des outils plus intelligents, capables d’identifier automatiquement les lacunes ;
  2. des interactions humaines renforcées, avec un professeur particulier jouant un rôle de mentor ;
  3. une hybridation plus marquée, entre soutien scolaire à domicile, sessions en ligne et contenus autonomes.

Pour les élèves, l’enjeu restera le même : trouver un équilibre entre autonomie et accompagnement, afin d’améliorer leurs résultats tout en consolidant leur méthode de travail, leur motivation et leur confiance en eux.

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