Don’t look up d’Adam McKay
Soleil Vert de Richard Fleischer
Grand classique sur le sujet de l’environnement, Soleil Vert, sorti en 1973, est inspiré du roman d’Harry Harrison. Il s’agit d’une dystopie utilisant à la fois les codes du film policier et de la science-fiction. Il s’appuie sur deux faits différents, à savoir le meurtre d’un riche homme d’affaires et le réchauffement climatique et ses conséquences, qui ont notamment poussé les autorités à créer des aliments artificiels pour lutter contre le manque de nourriture dû à la surpopulation et à l’épuisement des ressources.
WALL-E d’Andrew Stanton
WALL-E est aujourd’hui devenu une référence des dessins animés Disney et Pixar. L’histoire se passe dans le futur et met en scène un robot, WALL-E, conçu avec des éléments d’autres robots inutilisés et chargé de nettoyer le Terre de tous ses déchets. Mais après des années, WALL-E est le dernier robot sur Terre à fonctionner. Alors tout seul, il va rencontrer EVE, un autre robot différent de lui en tout point, avant de tomber sous son charme et de la suivre pour une aventure déterminante pour le destin de l’Humanité.
Le jour d’après de Roland Emmerich
Film catastrophe, Le jour d’après, décrit le parcours et les aventures d’un paléontologue et de ses collègues, en mission en Antarctique pour forer des carottes de glace. Une fois arrivés sur leur lieu de la mission, le plateau de glace sur lequel ils se trouvent se décroche du reste du continent. Alors que le paléontologue et ses compères scientifiques tentent d’alerter sur l’urgence climatique et les drames qui attendent le monde si rien n’est fait, d’autres catastrophes climatiques se produisent à différents endroits de la planète, comme des hélicoptères piégés dans un cyclone à cause de températures extrêmes encore jamais atteintes. En parallèle, la ville de Tokyo est frappée par d’énormes grêlons, Los Angeles est détruite par des tornades et New York se transforme peu à peu en banquise.
Snowpiercer de Bong Joon-ho
Snowpiercer se passe en 2031, après que les autorités mondiales, aidées par une entreprise de géo-ingénierie, ont tenté de répondre au réchauffement climatique par la diffusion dans l’atmosphère d’un gaz révolutionnaire, qui, à l’inverse, a provoqué le retour de l’ère glaciaire sur toute la planète, devenue stérile. Seulement quelques survivants subsistent, réfugiés dans le Transperceneige, un train capable de fendre la glace en la transformant en eau et en énergie, qui n’a d’autres choix que de rouler sans fin, en faisant le tour de la planète.
Goliath de Frédéric Tellier
Goliath raconte l’histoire d’un avocat spécialisé dans le droit de l’environnement qui se bat pour des clients agriculteurs devenues malades, à cause des pesticides produits notamment par un organisme : phytosanis. Il décrit tous les rouages économiques et politiques, l’inaction et la cupidité des gouvernements face à ces géants de l’agrochimie qui produisent des substances qui détruisent pourtant des vies. Les destins de Patrick, l’avocat, France, une des clientes de Patrick, et Mathias, lobbyiste pour Phytosanis, vont se croiser, pour faire éclore la vérité.
Au nom de la terre d’Édouard Bergeon
Au nom de la terre est un drame français mettant en scène Pierre, jeune agriculteur qui reprend la ferme familiale. Au fil des années, l’exploitation devient de plus en plus importante, mais les dettes s’accumulent alors que Pierre se donne corps et âme pour son travail. Porté par sa famille, il tente de garder la tête hors de l’eau, avant de sombrer totalement. Ce film est une véritable prise de conscience sur le monde agricole d’aujourd’hui, ses combats et ses difficultés.
Avatar de James Cameron
On ne le présente plus, Avatar, véritable film phénomène de James Cameron, propose des graphismes magnifiques tout en nous invitant à réfléchir sur le climat. L’histoire se déroule en 2154, sur une autre planète appelée Pandora, proche de la Terre. Pandora est recouverte d’une jungle luxuriante peuplée d’autochtones, les Na’vis, qui vivent en parfaite harmonie avec leur environnement. Mais Pandora est aussi un lieu de lutte entre les Na’vis voulant défendre leur territoire, face aux humains, venus sur la planète pour exploiter une pierre rare censée résoudre l’urgence climatique. Vaut-il mieux sauver la planète Terre au péril de la vie des Na’vis et de la planète Pandora ou bien abandonner la Terre et laisser faire les conséquences de l’inaction humaine ? C’est le choix que doit faire Jake Sully, le personnage principal.
La belle verte de Coline Serreau
La Belle verte est un film décrivant le contraste entre la planète verte, sur laquelle les habitants sont en totale harmonie avec la nature et forment une civilisation parfaite, égalitaire et évoluée, et la Terre. En effet, depuis des siècles, des habitants de la planète verte décident de descendre sur Terre pour la visiter. Alors que depuis plus de deux cent ans personne ne s’y est rendu, Mina, une habitante de la planète verte née d’une mère terrienne, décide d’aller sur Terre. Mais elle déchante rapidement au vu de l’urbanisation de la planète, de son industrialisation, de la surconsommation entraînant l’épuisement des ressources, mais aussi des inégalités et des discriminations entre les habitants.