Crépuscule de Victor Hugo

Crépuscule, Victor Hugo – Commentaire linéaire

À lire dans cet article :

Crépuscule est un poème très célèbre de Victor Hugo (1802 – 1885). Pour bien préparer les épreuves écrites du baccalauréat de français, voici un commentaire de texte détaillé d’un extrait du poème. Il a été donné au baccalauréat en 2014. C’est le poème XXVI du deuxième livre des Contemplations, publié en 1856.

Rapide biographie de Victor Hugo

Victor Hugo est un écrivain, poète et dramaturge français du XIXe siècle, né le 26 février 1802 à Besançon et décédé le 22 mai 1885 à Paris. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains de langue française et l’une des figures majeures du romantisme.

Son œuvre comprend de nombreux romans, poèmes, pièces de théâtre et essais, dont les plus connus sont probablement Les Misérables, Notre-Dame de Paris (plus connu sous le titre de Quasimodo), Les Contemplations et La Légende des siècles. Hugo était également un fervent défenseur des droits de l’homme et de la justice sociale, et a joué un rôle important dans la vie politique de son époque.

Il a été élu à l’Académie française en 1841, et a été fait pair de France en 1845 par le roi Louis-Philippe. Cependant, il s’est opposé à Napoléon III et a été exilé en Belgique pendant plus de vingt ans après le coup d’État de 1851. Il a finalement été autorisé à rentrer en France en 1870, après la chute de l’Empire.

Hugo a également été un artiste engagé dans la défense de la langue française, s’opposant à l’influence de l’anglais sur la culture française. Il a également été un pionnier de l’utilisation de la typographie dans ses poèmes, créant des formes de vers originales qui ont influencé de nombreux autres poètes.

Le recueil Les Contemplations de Victor Hugo

Les Contemplations est un recueil de poèmes de Victor Hugo publié en 1856, qui est considéré comme l’un de ses chefs-d’œuvre poétiques. Il est divisé en deux parties : Autrefois et Aujourd’hui.

La première partie, Autrefois, est principalement consacrée à la mémoire de la fille de Victor Hugo, Léopoldine, décédée tragiquement dans un accident de bateau avec son mari en 1843. Les poèmes de cette section sont très émouvants et expriment la douleur de la perte d’un être cher, ainsi que la réflexion sur la mort et la vie.

La deuxième partie, Aujourd’hui, est plus variée dans ses thèmes, abordant des sujets tels que l’amour, la nature, la politique et la religion. Les poèmes de cette section montrent également la capacité de Hugo à explorer de nombreux genres et formes poétiques, allant de la ballade à la sonnet, en passant par la chanson.

Les Contemplations est souvent considéré comme un tournant dans la carrière poétique de Victor Hugo, qui a utilisé ce recueil pour se libérer de la forme classique et se tourner vers des formes plus libres et plus expérimentales. Le recueil est également considéré comme une œuvre majeure du mouvement romantique français, marqué par un intérêt pour les émotions et la subjectivité de l’individu.

Crépuscule, Victor Hugo – Introduction

La méthodologie de l’introduction

  1. Toujours avoir une première lecture basique, puis une deuxième/troisième plus analytique où tu notes dans la marge/sur ton texte les éléments, figures de style ou informations que tu repères.

  2. Repérer la place de l’extrait dans l’œuvre → selon sa place il aura différentes fonctions.

    Ici, l’extrait se situe dans le deuxième livre du recueil de poèmes, opus intitulé L’âme en fleur dans lequel Victor Hugo traite la thématique de l’amour.

  3. Repérer, mettre en évidence la structure du texte, et ainsi la manière dont il évolue et avance on peut distinguer trois parties structurées autour de différentes thématiques.

  4. Pour un texte poétique :

    • repérer le type de strophes (le poème est constitué de six quatrains) et de vers (des alexandrins)

    • le type et la qualité des rimes (croisées, riches)

    • l’étude du rythme et des images est primordiale

    • ainsi que les figures de styles et thématiques majeures (l’amour, le tempus fugit ou carpe diem).

La problématisation de Crépuscule de Victor Hugo

Pour trouver la problématique du texte : saisir la spécificité du texte, ce qui le rend intéressant et exceptionnel (trouver la raison pour laquelle les jurés l’ont choisi).

Plusieurs axes sont possibles :

  • le texte est-il particulièrement représentatif d’un genre ou d’un mouvement ?

  • se distingue-t-il au contraire des autres dans un genre ?

  • quels outils littéraires sont utilisés et dans quel but ?

L’important est de trouver un ou plusieurs axes (ne pas s’éparpiller non plus ! Un ou deux suffisent ) qui concernent le texte dans sa totalité. (elle ne doit donc pas être trop réduite ou ne concerner qu’une partie de l’extrait).

Dans le développement, toujours partir d’observations basiques pour aboutir à quelque chose de plus subtil, pointu et réfléchi. Le premier niveau d’analyse est important pour permettre à celui qui lira votre travail de saisir la nature du texte, ce qu’il contient … et pour montrer que tu l’as bien compris.

Autres remarques : faire attention au rythme du texte, à la place du narrateur et de l’auteur dans le texte, bien citer le texte pour prouver ce que l’on déclare.

Crépuscule, Victor Hugo – premier mouvement du poème

Dans le commentaire, les premières observations générales sur le texte doivent apparaître selon l’ordre suivant :

  • le titre et la date de publication de l’œuvre dont est extrait le texte, sa nature

  • le thème, le registre, les éléments poétiques majeurs

  • la problématique

  • le plan

Repérer le ton, le registre, la structure des strophes et vers et les outils majeurs de la poétique. Etudier les thématiques et la manière dont elles le sont traitées.

Lyrisme de la nature

“L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires,

Frisonne ; au fond du bois la clairière apparaît ;

Les arbres sont profonds et les branches sont noires ;

Avez-vous vu Vénus à travers la forêt ?”

La nature, élément central en poésie, et d’autant plus lorsqu’elle traite de l’amour, est ici un élément lyrique (présentée de manière poétique et passionnée) : “L’étang mystérieux (…)” / “Frisonne; au fond du bois la clairière apparaît”/”Les arbres (…) et les branches (…)” / “(…) à travers la forêt ?“, v.1-4.

Les motifs naturels

La forêt, l’étang, la clairière sont les éléments topiques qui servent de cadres à l’expression poétique lyrique et romantique. Ils créent aussi un mystère qui donne un caractère intime à la scène. En terme de rythme et de rimes : 5 / 7, 2 / 10, 6 / 6, 6 / 6 et des rimes croisées riches.

Cela montre une certaine régularité et la douceur de l’évocation renforcée avec l’allitération des liquides -l et -r. C’est caractéristique de la poésie lyrique romantique.

L’obscurité, la mort donnée en poésie :

Les images employées dans le poème Crépuscule, très poétiques, font néanmoins référence à la mort. (“L’étang mystérieux, suaire aux blanches moires, / Frisonne ; (…) / Les arbres sont profonds et les branches sont noires ;” v. 1-3 ).

L’obscurité, en plus d’être une manière de cacher et protéger l’amour, suggère la noirceur de la mort. Il faut signaler l’emploi de termes esthétiques pour évoquer cette thématique (“suaire”, “moires”, “Frisonne” qui est une déformation poétique du verbe frissonner).

La rime simple entre “noires” et “moires” participe à la beauté de l’évocation. Mort et nature sont reliées.

L’amour

Une thématique classique de la poésie, introduite dans le poème Crépuscule par le lyrisme et la référence à Vénus (la note précise qu’il peut s’agir d’une planète ou de la déesse de l’amour). L’adresse à un “vous” peut être dirigée aux lecteurs ou aux marcheurs, aux amants dans le bois.

Un détail intéressant

La rime entre “apparaît” et “forêt” sachant que dans les deux vers il y a une apparition, d’abord de la clairière puis de Vénus, donc de l’amour.

“Avez-vous vu Vénus au sommet des collines ?

Vous qui passez dans l’ombre, êtes-vous des amants ?

Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines ;

L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants.”

  • La répétition de “Vénus”, cette fois-ci au sommet des collines (mouvement d’ascension de l’amour, de même qu’il est ascendant dans la matière du poème)

  • la référence aux “amants” possibles

  • l’amour présent physiquement et de manière abstraite avec l’évocation métonymique des femmes avec les “blanches mousselines” (voir note).

Il est intéressant de voir que l’évocation de l’amour dans le poème Crépuscule n’est pas uniquement platonique, les “blanches mousselines” y apportent de la sensualité.

Le poète devient plus insistant et explicite dans son ode à l’amour grâce à un nombre croissant d’adresses interrogatives à un “vous”.

Personnification de la nature

Dans cette strophe du poème Crépuscule, la nature est personnifiée et semble être le cadre d’existence tant de l’amour que de la mort ( ” (…) Vénus au sommet des collines ? ” / ” (…) dans l’ombre, êtes-vous des amants ? ” / ” Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines ; ” / ” L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants.” ).

Le mouvement d’une thématique à l’autre reflète dans le texte le mouvement des amants, de la mort, et peut-être les mouvements du coeur. Plus que jamais, les trois thématiques sont intimement entrelacées.

Rythme et rimes

La mort est traitée d’une façon très originale dans le poème Crépuscule (“L’herbe s’éveille et parle aux sépulcres dormants.”).

Le recours à des termes comme “sépulcres” et “dormants”, esthétiques et agréables en terme de sonorité, montre un désir d’esthétisation de la mort. Le rythme extrêmement régulier (6/6, 6/6, 6/6 et 6/6) et les rimes riches qui présentent une forte ressemblance sonore (“collines” / “mousselines”, “amants” / “dormants”) sont caractéristiques du lyrisme romantique doux.

Crépuscule, Victor Hugo – deuxième mouvement du poème

Les deux strophes suivantes : dans le second mouvement, il y a un glissement vers la thématique du carpe diem.

Noter les changements avec le mouvement précédent. Repérer le ton, le registre, la structure des strophes et vers et les outils majeurs de la poétique. Etudier les thématiques traitées et la manière dont elles le sont.

Personnification des éléments

“Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe ?

Aimez, vous qui vivez ! on a froid sous les ifs.

Lèvre, cherche la bouche ! aimez-vous ! la nuit tombe ;

Soyez heureux pendant que nous sommes pensifs.”

La présence d’un dialogue entre les éléments naturels et ceux de la mort (“Que dit-il, le brin d’herbe ? et que répond la tombe ?”) donne une impression de vie. Le corps est aussi personnifié (“Lèvre, cherche la bouche !”). Cette figure de style donne de la vie au poème Crépuscule et au monde naturel qui y est décrit, ce qui peut sembler paradoxal étant donné l’importance de la thématique de la mort. Ce paradoxe prépare la référence au carpe diem.

Ode à la vie et à l’amour selon le carpe diem

Le carpe diem désigne un mode de vie au jour le jour où on ne pense pas à la mort. Cela peut se traduire par “profite de la beauté, de la jeunesse, de l’amour tant que tu le peux”. C’est une solution parfaite face au paradoxe amour/mort.

Elle avait déjà été préparée par la présence du thème de la mort mais apparaît clairement ici avec les exclamations et les constructions des vers en diptyques (“Aimez, vous qui vivez ! on a froid sous les ifs.” / “Lèvre, cherche la bouche ! aimez-vous ! la nuit tombe ;” / “Soyez heureux pendant que nous sommes pensifs.”).

En début de chaque vers du poème Crépuscule, c’est l’amour, la vie et la sensualité qui sont célébrés ; tandis que dans la seconde apparaissent le froid, l’obscurité et des êtres “pensifs”.

En d’autres termes, l’amour et la mort s’opposent dans la structure interne des vers. Le chemin répété de l’amour à la mort est intéressant car il suggère l’inévitabilité de la mort et la menace qu’elle représente pour les amants encore jeunes et beaux.

La rime entre “tombe” et “tombe” est explicite quant à cette menace. D’où le ton urgent adopté par Victor Hugo et l’emploi de l’impératif. Il s’exclut de cet amour.

“Dieu veut qu’on ait aimé. Vivez ! faites envie,

O couples qui passez sous le vert coudrier.

Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie,

On emporta d’amour, on l’emploie à prier.”

Appel à l’amour et au contact physique

Victor Hugo, qui s’exclut de l’amour, encourage vivement les lecteurs à s’aimer (dans les deux sens du terme, le sentiment et le relation physique) en faisant référence à Dieu et au bon sens (“Dieu veut qu’on ait aimé. Vivez ! (…)” et “Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie, / On emporta d’amour, on l’emploie à prier.”)

Le recours au “on” général et au présent de vérité générale dans le poème Crépuscule donne l’impression d’une leçon de vie applicable à tout un chacun. L’usage de l’impératif et des formules du conseil montre une réelle velléité de la part du poète d’encourager à l’amour. Les termes “faites envie” signale son grand isolement par rapport à ce bonheur.

La relation amour/nature/mort

Les trois notions sont intimement liées dans le texte, si bien qu’elles apparaissent dans un même vers (“O couples qui passez sous le vert coudrier. / Tout ce que dans la tombe, en sortant de la vie, / On emporta d’amour, on l’emploie à prier.”)

De nouveau, le chemin de la vie, de l’amour à la mort semble inévitable et renforce l’urgence de l’amour. Et pourtant cette strophe se distingue par l’impression de sérénité qui s’en dégage, produite par le rythme régulier (6/6 pour les trois premiers vers, 5/7 pour le dernier) et la sagesse du conseil. Il s’agit de poésie et de beauté.

Crépuscule, Victor Hugo – troisième mouvement du poème

Les trois dernières strophes : ce dernier mouvement insiste plus spécifiquement sur la beauté éphémère et le topique du tempus fugit.

Noter les évolutions avec le mouvement précédent. Repérer le ton, le registre, la structure des strophes et vers et les outils majeurs de la poétique. Etudier les thématiques traitées et la manière dont elles le sont.

“Les mortes d’aujourd’hui furent jadis les belles.

Le ver luisant dans l’ombre erre avec son flambeau.

Le vent fait tressaillir, au milieu des javelles,

Le brin d’herbe, et Dieu fait tressaillir le tombeau.”

Présence du temps

Le poète insiste sur le contraste entre la beauté et la mort, entre le temps passé et présent afin de souligner l’effet du temps qui passe sur la beauté des jeunes femmes (“Les mortes d’aujourd’hui furent jadis les belles.”). L’usage du passé simple et de “jadis” soulignent la vieillesse du fait. C’est une introduction de la thématique du tempus fugit.

Omniprésence du temps qui passe

Dans l’espace naturel créé ici, la nature est de plus en plus liée à la mort (“Le ver luisant dans l’ombre erre avec son flambeau./ Le vent fait tressaillir, (..)/Le brin d’herbe, et Dieu fait tressaillir le tombeau.”) La répétition du verbe “tressaillir” et l’usage de terme comme “l’ombre”, le “flambeau” et le “tombeau” (qui riment) montrent une menace croissante de la mort.

L’amour moins présent que la mort

L’amour est présent par l’évocation des “belles” et des “javelles” mais elle semble perdre face à l’omniprésence de la mort dans le texte. Elle semble naître du texte, prendre de l’ampleur.

“La forme d’un toit noir dessine une chaumière;

On entend dans les prés le pas lourd du faucheur;

L’étoile aux cieux, ainsi qu’une fleur de lumière,

Ouvre et fait rayonner sa splendide fraîcheur.”

Moment de description d’un instant éphémère

Les verbes au présent simple (“dessine”, “entend”, “fait rayonner”) et le caractère très visuel et sensoriel de l’évocation font de ce passage du poème Crépuscule une description synesthésique.

  • Le premier vers et les deux derniers jouent sur la vue (“La forme d’un toit noir dessine une chaumière;” / “L’étoile aux cieux, ainsi qu’une fleur de lumière, / Ouvre et fait rayonner sa splendide fraîcheur.”)

  • le second sur l’ouïe (“On entend dans les prés le pas lourd du faucheur”).

Cette description d’un moment du quotidien est très intéressante car il semble exceptionnel : le cadre bucolique rappelle la campagne (“chaumière”, “prés”, “étoile, “fleur”) mais la beauté des éléments est soulignée par l’usage des articles définis “le/”la”/”une” et d’images poétiques telle que la “fleur de lumière”.

Le moment semble exceptionnel, suspendu dans le temps (cela vient de la description) ; et la beauté de la fleur unique et éphémère (“fait rayonner sa splendide fraîcheur”).

Présence et menace implicites de la mort

Dans un moment d’une grande beauté, une métonymie du tempus fugit.

Sous l’apparence de perfection, la beauté de cet instant est menacée par la mort qui rôde (“le pas lourd du faucheur” // la faucheuse, “le toit noir”).

“Aimez-vous ! c’est le mois où les fraises sont mûres.

L’ange du soir rêveur, qui flotte dans les vents,

Mêle, en les emportant sur ses ailes obscures,

Les prières des morts aux baisers des vivants.”

Hyperbole dans le carpe diem et le tempus fugit

Apothéose du cri de l’amour : répétition de l’ordre “Aimez-vous!” en début de strophe qui donne une sensation d’urgence de l’amour.

Insistance sur la beauté éphémère du moment dans le cadre du carpe diem (“le mois où les fraises sont mûres”, “L’ange du soir rêveur”) et sur son caractère flottant (“flotte dans les vents”).

De plus, un ange est en action, ce qui est loin d’être anodin puisque c’est extraordinaire. Cela peut faire penser à l’expression “un ange passe” qui désigne un moment de grâce. En ce qui concerne le tempus fugit, il est symbolisé par “l’ange du soir rêveur” qui passe et emporte “les prières des morts aux baisers des vivants.”.

Esthétisation de la mort

Le rythme à fois régulier et varié des derniers vers du poème Crépuscule (3/9, 6/6, 2/10 et 6/6) et la beauté des images associées à la mort (“L’ange du soir rêveur”, “ses ailes obscures”, “Mêle (…) Les prières des morts aux baisers des vivants.”) montrent un désir de rendre poétique ce qu’on pourrait qualifier de chant du cygne de l’amour. Il mêle parfaitement vie et mort.

Conclusion du commentaire linéaire

Il faudrait ici synthétiser les grandes idées du commentaire de manière chronologique.

Les points à aborder dans Crépuscule, Victor Hugo

  • D’abord revenir sur le caractère original de ce poème romantique qui aborde le topique de l’amour à travers les filtres de la nature et de la mort. L’amour est présenté comme une urgence, une nécessité due à la menace latente de la mort et au temps qui passe.

  • Les thématiques centrales sont donc l’amour, le carpe diem et le tempus fugit.

  • Enfin, insister sur l’esthétisation des instants éphémères de beauté et d’amour à travers le travail du rythme, les rimes et la beauté des images dans le poème Crépuscule. Le poème est à la fois heureux et mélancolique.

Voici donc une analyse détaillée du poème Crépuscule de Victor Hugo. N’hésite pas à consulter nos autres articles de commentaires détaillés et rédigés ou encore de méthodologie. Bonnes révisions !

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